CES MORTS QUI SE MULTIPLIENT DANS LA DISSIDENCE : COÏNCIDENCE OU NETTOYAGE ? | GPTV
Description
Le 20 novembre 2025 à 12h30, Mike Borowski était l’invité de Nicolas Stoquer, en direct sur Géopolitique Profonde, où il démontait la stratégie d’effacement des voix dissidentes après le décès du Dr Christian Tal Schaller.
Disparitions en chaîne dans la dissidence francophone
La mort du Dr Christian Tal Schaller résonne comme un choc dans la dissidence francophone. Médecin visionnaire et pionnier des médecines alternatives, il s’ajoute au général Delawarde, à Éric Denécé ou Christine Cotton, frappée par une maladie fulgurante. Tous partageaient une parole libre, dérangeante pour le système. Cette succession de morts interroge moins le hasard que la mécanique d’un pouvoir qui marginalise ou brise ceux qui s’écartent du récit officiel. La résistance intellectuelle est visée, méthodiquement, par une stratégie d’effacement.
Derrière ces disparitions, c’est un courant souverain et enraciné qui vacille. La dissidence n’est plus un simple courant d’opinion : elle constitue un front culturel et une matrice de réinformation qui menace les appareils d’influence transatlantiques. Chaque disparition fragilise ce réseau refusant la soumission à Bruxelles, à l’OTAN et à la technocratie sanitaire. L’ennemi sait que la guerre de l’information vaut mieux que celle des armes : il frappe les consciences.
La guerre cognitive contre les voix libres
Le système tue moins physiquement que socialement : exclusion médiatique, diffamation, démonétisation, puis effacement. Ce processus est devenu coordonné et algorithmique. Les plateformes servent d’outil à un État profond occidental qui remplace la prison par le bannissement numérique. Le Dr Schaller, le général Delawarde ou Éric Denécé incarnaient une résistance fondée sur la raison, le courage et la lucidité — précisément ce que redoute le pouvoir.
Cette guerre cognitive vise à briser la confiance envers toute source alternative. L’esprit critique devient suspect, la tyrannie se déguise en santé publique. L’UE et l’OTAN encadrent cette stratégie sous prétexte de « lutte contre la désinformation », mais il s’agit d’un contrôle total de la narration. La résistance intellectuelle devient alors un acte de survie : lire, partager, parler devient un combat.
La résistance en danger mais pas vaincue
La dissidence est en danger : elle subit la pression d’un régime occidental en panique, conscient que son narratif s’effondre. Mais elle n’est pas vaincue. Chaque voix réduite au silence en fait naître d’autres. Le peuple souverain apprend à reconnaître ses adversaires : institutions corrompues, médias subventionnés, marionnettes bruxelloises.
La question n’est pas « qui sera le prochain », mais « qui osera continuer ». L’heure est à la reconquête : vérité, santé, souveraineté. Tant qu’il existera des canaux libres et des hommes debout, la dissidence survivra. La guerre de l’esprit décidera du sort des nations.
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